2026 marque un tournant.

Les acquéreurs ne sont plus impulsifs : ils sont rationnels, techniques, analytiques. Tout est scruté, comparé, projeté. Et cela change profondément la valeur d’un bien.

Le marché bascule du prix au m²…au prix technique.

DPE :une note qui pèse immédiatement sur le prix dans une vente, la note DPE est devenue un facteur de valeur, pas un simple indicateur. Les décotes observées sont claires :E E≈ –5 à –10 %

F≈ –10 à –15 %

G≈ –15 à –20 %

Une note meilleure limite la négociation ; une note basse l’ouvre instantanément. L’enjeu : anticiper la note réelle, surtout avec les ajustements attendus sur les biens électriques.

En2026, on n’achète plus seulement un appartement : on achète une copropriété et son futur.

Une structure saine, des travaux maîtrisés et un fonds travaux cohérent stabilisent le prix. À l’inverse, une copropriété vieillissante ou des travaux majeurs à venir entraînent 5 à 15 % de décote selon les projections. Les acquéreurs analysent désormais les PV, le plan pluriannuel de travaux !les appels de fonds, les travaux programmés.

La vraie question devient :combien va me coûter cette copropriété dans 10 ans ?

Un marché qui repart… mais pas pour tout le monde

Oui, les volumes augmentent légèrement. Mais le rebond est sélectif. Les biens standards, rationnels, cohérents repartent.

Les biens atypiques, haut de gamme ou non alignés stagnent : la demande est exigeante, méthodique, et les vendeurs n’ont pas encore ajusté leurs prix.

Résultat : ça coince!

Le prix technique intègre désormais :la performance énergétique, le coût d’usage, la fiscalité à venir, les charges futures, la cohérence du bien dans son environnement.

Chaque m² doit prouver sa valeur. Ce n’est plus une affaire d’intuition, mais de démonstration.

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Conclusion : 2026 sera l’année du réalisme. Les acheteurs raisonnent. Les vendeurs s’ajustent. Et le marché devient clairement un marché d’experts.

Dans ce contexte, l’accompagnement professionnel n’est plus un confort :c’est une sécurité technique.

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